Ivan est le chef de projet, Mickael le nouveau chef de chantier. Il nous parlent tous les deux de la dernière étape.
Malgré le confinement, on vous voit régulièrement sur le chantier. Qu’est-ce qui vous y amène ?
Ivan : C’est la hâte de voir ce long projet suffisamment terminé pour que l’Eglise puisse s’y réunir ! En tant que chef de projet, j’ai une autorisation pour m’y rendre. J’y vais donc régulièrement pour avancer avec Mickaël sur les derniers requis réglementaires.
Mickael : Pour ma part, venir me permet de m’imprégner du chantier. C’est une chose de venir en tant que bénévole, ç’en est une autre de regarder avec les lunettes d’un chef de chantier.
Qu’est-ce qu’il reste à faire pour pouvoir ouvrir l’Eglise au public ?
Ivan : Nous avons besoin de passer la vérification finale de conformité réglementaire. Nous espérons et prions pour avoir cette vérification finale le 7 décembre, avec un premier culte prévu le dimanche 24 janvier, Dieu voulant.
Mickael : Une fois cette étape passée, on prévoit 4 jours de travaux, en comptant le ménage et l’aménagement -si on mobilise des équipes suffisantes !
Quand tu as accepté de devenir chef de projet, Ivan, imaginais-tu ce que ça a été ?
Globalement oui, car je m’étais bien renseigné sur l’état et les besoins du projet avec les personnes impliquées. Je remercie d’ailleurs vivement Luc, Eric, Ludovic et Alain, pour leur travail et leur aide ! Par contre, ce que je n’imaginais pas les multiples difficultés, retards, frustrations et fatigue liés à ce gros projet complexe, avec, entre autres, deux confinements sanitaires !
Les points très forts ont été, malgré tout, la communion fraternelle magnifique sur le chantier entre les bénévoles, et l’opportunité de vivre ce projet comme un témoignage auprès de nos interlocuteurs extérieurs. Je prie que le Saint Esprit puisse utiliser ce témoignage à la gloire de Dieu dans les mois à venir !
Et toi Mickael, quelles sont tes motivations pour prendre la suite d’Alain ?
La motivation principale est de répondre à un besoin et finir rapidement. Mais j’ai aussi une autre motivation, plus personnelle. J’aime bien bricoler, travailler de mes mains. Dans une vie antérieure j’ai géré le refuge de la Barme (chalet GBU) en organisant des travaux. L’été dernier c’était 20 personnes sur une semaine en conditions Covid et pension complète !
Nous vous donnons rendez-vous au 106avEM pour terminer le chantier.